Un patient tenant la main d’un membre de la famille.

Solutions pour le service des urgences

Le parcours de votre patient commence ici, dans cet environnement au rythme rapide où les décisions doivent être prises rapidement et en toute confiance. Le service des urgences est le lieu qui reçoit environ 60 % de toutes les admissions dans les hôpitaux au Canada1 et de la première interaction que votre patient aura avec le système de santé. Les décisions prises à partir d’ici auront une incidence sur le parcours de chaque patient vers leur rétablissement et leur congé.

Statistiques relatives au service des urgences

14,5 heures

est la durée moyenne de séjour dans les services d’urgence partout au Canada. 2
15 083 398

personnes ont visité les services des urgences partout au Canada au cours des exercices 2018 et 2019. 2
739 471

patients ont reçu des soins aux services d’urgence quatre fois ou plus au cours de l’exercice. 2

Solutions pour les défis des services des urgences

Les patients doivent faire face à quatre défis courants lorsqu’ils sont admis au service des urgences (SU) : normothermie, cathéters périphériques, plaies et prévention des infections. 3M propose une large gamme de produits et de solutions conçus pour améliorer les résultats des patients et aider à réduire la durée du séjour.

Normothermie toggle

Le problème

La gestion de la température demeure un élément important des soins tout au long du séjour à l’hôpital, y compris au SU et à l’unité de soins intensifs. Lorsque la température centrale d’un patient est hors des plages normales, il devient hypothermique ou hyperthermique.

On estime que 43 % des patients en traumatologie souffrent d’hypothermie à leur arrivée au SU.3

L’hypothermie associée à un traumatisme fait partie de la célèbre triade mortelle et est un prédicteur indépendant de la mortalité.4,5 À l’autre extrémité du spectre, la température corporelle centrale reste un signe vital critique pour diagnostiquer les patients se présentant au SU, et la recherche observationnelle suggère que les patients fébriles (hyperthermie) ne sont pas diagnostiqués près de 80 % du temps en raison d’appareils de mesure imprécis.6

Solution

La normalisation au moyen d’un seul système de surveillance de la température améliore la constance, réduit la possibilité d’erreur et élimine le dédoublement des efforts nécessaires à l’achat et au transport de plusieurs produits. Le Système de surveillance de la température Bair Hugger(MC) 3M(MC) offre aux cliniciens une méthode de surveillance de la température unique qu’ils peuvent utiliser à chaque phase du parcours du patient de manière à améliorer l’efficacité clinique en rationalisant le processus de surveillance de la température. Les patients en traumatologie doivent être réchauffés pendant l’évaluation et la réanimation. Les techniques de réchauffement passif se sont révélées inefficaces ou obstructives pendant l’évaluation.7 Les méthodes actives, telles que les systèmes de réchauffement à air pulsé sur tout le corps, bien qu’efficaces, peuvent également être obstructives pendant l’évaluation parce que le dispositif de réchauffement est déplacé à plusieurs reprises pour accéder au patient.

Solutions pour la gestion de la température

Le Système de normothermie Bair Hugger(MC) 3M(MC)

Fermer la section Arrow up

Cathéter Périphérique toggle

80 % de toutes les admissions à l’hôpital nécessitent un cathéter périphérique.

Le problème

L’insertion d’un cathéter périphérique est la procédure effractive la plus courante en soins de santé. Les cathéters périphériques présentent de nombreux risques pour le patient et doivent être insérés et maintenus conformément aux normes et aux directives nationales de soins.

Si un cathéter périphérique migre ou se déloge, le patient présentera des risques accrus de phlébite ou de bactériémies associées aux cathéters.9

Solution

La mise en place d’un protocole qui vise à réduire les bactéries autour du site, à maintenir l’intégrité de la peau, à maintenir la tubulure d’intraveineuse en place, ainsi qu’à protéger chaque port d’entrée contre les bactéries entraînera une diminution de l’échec du cathéter périphérique. Les lignes directrices de l’ACAV suggèrent d’utiliser des pansements de fixation avec bordure pour tout dispositif d’accès vasculaire périphérique en place depuis plus de six heures afin de maintenir l’intégrité de ce dispositif10. Cela entraînera une diminution des redémarrages imprévus et permettra à davantage de cathéters périphériques d’atteindre un temps de rétention de 72 heures.11

Solutions pour cathéters périphériques

Accès vasculaire et fixation sûre

Fermer la section Arrow up

Soins des plaies toggle

Les dépenses en soins des plaies au Canada sont estimées à 3,9 milliards par an.

Le problème

Un traitement des plaies réussi nécessite une approche à plusieurs niveaux qui aide le personnel infirmier à traiter les lacérations aiguës jusqu’aux plaies chroniques avec retard de la cicatrisation.

Le traitement des plaies commence par l’évaluation de l’état de santé et de l’état général du patient afin de mettre en œuvre les bonnes solutions pour chaque patient.

Solution

Le traitement des plaies peut entrer dans deux catégories lorsque les patients entrent dans la salle d’urgence : Les plaies aiguës ou les plaies chroniques. Les plaies aiguës sont des plaies qui peuvent être traitées rapidement et entraîner un congé du patient. Les plaies de cette catégorie comprennent les lacérations, les excoriations cutanées ou toute plaie qui peut être résolue par une intervention mineure. Les plaies chroniques sont des plaies à cicatrisation lente ou des plaies stagnantes et nécessitent l’intervention d’un spécialiste en soins des plaies. 3M propose une large gamme de solutions, des solutions pour soin des plaies de base aux solutions avancées, qui aident à traiter et à cicatriser les plaies.

Solutions de soins des plaies

Solutions de soins des plaies

Fermer la section Arrow up

Contrôle des infections toggle

Une étude a permis d’échantillonner 24 rouleaux de ruban au chevet aux jours 1,5 et 7, dans une unité de soins intensifs

Le problème

Au Canada, il y a plus de 220 000 cas d’infections nosocomiales, qui ont entraîné au moins 8 000 décès.14

La contamination croisée peut se produire entre les personnes et les produits et les cabinets.15,16,17 Les travailleurs de la santé ne sont pas à l’abri des micro-organismes qui peuvent passer des produits et des patients au personnel. De nombreuses études présentent des données probantes indiquant que des produits comme le ruban médical peuvent être contaminés lorsqu’ils passent d’un clinicien et d’un patient à un autre.18

Solution

Une initiative, un processus ou une technologie unique ne peut pas réduire les infections nosocomiales. Il faut examiner toutes les mesures de prévention des infections et les mettre en œuvre. Qu’il s’agisse d’utiliser des produits à usage unique ou de protéger vos surfaces de travail avec la technologie des produits 3M, la réduction des infections nosocomiales présente de nombreuses facettes. Le changement commence par le respect des protocoles fondés sur des données empiriques décrits dans les normes et les lignes directrices relatives aux meilleures pratiques. S’assurer que chaque clinicien s’engage à suivre une formation appropriée et à rendre des comptes personnels pour chaque patient, en tout temps. Utiliser la bonne combinaison de produits et de technologies éprouvées pour réduire efficacement votre risque d’infection.

Solutions pour la prévention des infections

Rubans médicaux Stérilisation et retraitement des dispositifs médicaux

Fermer la section Arrow up

Un médecin porte un stéthoscope et parle avec un patient.

Obtenez les réponses dont vous avez besoin.

Communiquer avec un représentant

Bibliographie

Institut canadien d’information sur la santé, Comprendre les temps d’attente dans les services d’urgence; L’accès aux lits d’hospitalisation et le roulement des patients (Ottawa, ICIS, 2007).
Institut canadien d’information sur la santé. SNISA — Nombre de visites au service d’urgence et durée du séjour, 2018-2019, Ottawa (Ontario), ICIS, 2019.
J. C. Duchesne, N. E. McSwain Jr, B. A. Cotton, J. P. Hunt, J. Dellavolpe, K. Lafaro, A. B. Marr, E. A. Gonzalez, H. A. Phelan et T. Bilski. « Damage control resuscitation: the new face of damage control », Journal of Trauma and Acute Care Surgery, vol. 69, n° 4 (2010), p. 976 à 990.
H. Trentzsch, S. Huber-Wagner, F. Hildebrand, K-G. Kanz, E. Faist, S. Piltz et R. Lefering. « Trauma Registry D. Hypothermia for prediction of death in severely injured blunt trauma patients », Shock, vol. 37, n° 2 (2012), p. 131 à 139.
J.L. Kashuk, E.E. Moore, J.S. Millikan et J.B. Moore « Major abdominal vascular trauma – a unified approach », The Journal of Trauma, vol. 22, n° 8 (1982), p. 672 à 679.
G. A. Walker, D. Runde, D. M. Rolston, D. Wiener et J. Lee. « Emergency department rectal temperatures in over 10 years: A retrospective observational study », World Journal of Emergency Medicine, vol. 4, n° 2 (2013), p. 107.
C. Smith, C et R. Yamat, « Avoiding hypothermia in the trauma patient », Anesthesiology, vol. 13 (2000), p. 167 à 174.
R.L. Stuart, D.R. Cameron, C. Scott et coll. « Peripheral intravenous catheter-associated Staphylococcus aureus bacteraemia: more than 5 years of prospective data from two tertiary health services », Med J Aust, vol. 198 (2013), p. 551 à 553.
N. P. O’Grady, M. Alexander, L. M. Burns et coll. « Guideline for the prevention of intravascular catheter-related infections », Clin. Infect. Dis., vol. 52 (2011), p. e162 à e193.
Association Canadienne d’Accès Vasculaire. (2019). Lignes directrices canadiennes sur les accès vasculaires et la thérapie intraveineuse, Pembroke, Ontario, Pappin Communications.
A. Jackson « Retrospective comparative audit of two peripheral IV securement dressings », British Journal of Nursing, vol. 21 (2012), pp. 10 à 15.
Wound Care Alliance Canada : http://www.ourcommons.ca/Content/Committee/411/FINA/WebDoc/WD5709773/411_FINA_PBC2012_Briefs/WoundCareAllianceCanadaE.pdf
D.M. Berkowitz, W. S. Lee, G. J. Pazin, R. B. Yee et M. Ho. « Adhesive Tape: Potential Source of Nosocomial Bacteria », Appl. Microbiol., vol. 28, n° 4 (1974), p. 651 à 654.
D.E. Zoutman, B.D Ford, E. Bryce, M. Gourdeau et coll. « The state of infection surveillance and control in Canadian acute care hospitals », AMERICAN JOURNAL OF INFECTION, vol. 31, n° 5 (2003), p. 266 à 273.
Comité canadien sur la résistance aux antibiotiques. (2007). Pratiques exemplaires de prévention et de contrôle des infections pour les soins de longue durée, les soins à domiciles et les soins communautaires, notamment pour les bureaux de soins de santé et les cliniques de soins ambulatoires
Canadian Antimicrobial Resistance Alliance. (n.d.). « Comprehensive Overview of Antibiotic Resistance in Canada ».
Comité consultatif provincial des maladies infectieuses. (2009). Pratiques exemplaires de nettoyage de l’environnement en vue de la prévention et du contrôle des infections dans tous les milieux de soins de santé. (Toronto : gouvernement de l’Ontario).
J. Mcclusky, M. Davis, et K. Dahl. « A gap in patient tape storage and use practices puts patients at risk for cutaneous fungal infections », Am. J. Infect. Control, vol. 43, no 2 (2015), p. 182 à 184.

Solutions pour le service des urgences

Statistiques relatives au service des urgences

14,5 heures

15 083 398

739 471

Solutions pour les défis des services des urgences

Normothermie toggle

Le problème

Solution

Solutions pour la gestion de la température

Cathéter Périphérique toggle

Le problème

Solution

Solutions pour cathéters périphériques

Soins des plaies toggle

Le problème

Solution

Solutions de soins des plaies

Contrôle des infections toggle

Le problème

Solution

Solutions pour la prévention des infections

Obtenez les réponses dont vous avez besoin.

Bibliographie